15/11/2016
HOTDOG
Natyot & moi avons fait un bébé ensemble. Enfin non, ce n'est pas un bébé, mais un chien. Qui s'appelle HOTDOG. Enfin non, ce n'est pas un chien, mais un livre. Et Natyot l'a faite toute seule. Du premier au dernier mot. Je vais chercher le premier tirage chez l'imprimeur aujourd'hui.
Le commander ? ICI
07:28 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : natyot, hotdog, le pédalo ivre, éditions le pédalo ivre
09/11/2015
Présentation des Éditions « LE PÉDALO IVRE » (7ème partie)
Où il est question des ouvrages de Simon Allonneau (« La vie est trop vraie ») et de Thierry Radière (« Poèmes géographiques »)... où je réponds également à quelques critiques.
00:29 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le pédalo ivre, éditions le pédalo ivre, simon allonneau, thierry radière
28/09/2015
Présentation des Éditions « LE PÉDALO IVRE » (4ème partie)
L'épisode GREGOIRE DAMON !
09:15 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : grégoire damon, mon vrai boulot, d'origine, éditions le pédalo ivre, le pédalo ivre
21/09/2015
Présentation des Éditions « LE PÉDALO IVRE » (3ème partie)
Où il est question de Leonard Cohen et du recueil d’Hélène Dassavray « C’est gentil d’être passé »...
11:46 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hélène dassavray, éditions le pédalo ivre, le pédalo ivre, leonard cohen, no parking no business, éditions gros textes, cohen
17/09/2015
Présentation des éditions Le Pédalo Ivre (première partie)
La première vidéo d'une série que j'espère longue (vous pouvez vous abonner à ma chaîne YouTube), faite avec des bouts de ficelle (pas même un micro externe)... mais dans le genre "gros nez-gros sourcils et lumière Zulawskienne" pour éclairer les cernes, c'est assez réussi.
12:58 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : éditions le pédalo ivre, le pédalo ivre, jean-marc luquet, éditions à plus d'un titre, à plus d'un titre
10/02/2015
Connaissez-vous SIMON ALLONNEAU ?
Le premier livre de Simon Allonneau était un "Polder" de toute beauté.
Son deuxième recueil sort au Pédalo Ivre. Drôle à en pleurer.
c’est marrant
je croyais que votre fils avait grandi
il est à nouveau petit
on dit que les enfants grandissent tout droit.
ils rétrécissent entre-deux
mais il ne faut pas leur dire
Une première critique signée Grégoire Damon
Le livre est commandable ICI.
08:32 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : simon allonneau, la vie est trop vraie, éditions le pédalo ivre, le pédalo ivre
21/11/2014
"MUSEHOMME" !!!
Le nouveau titre des éditions Le Pédalo Ivre, signé PIERRE SOLETTI & VALERE ARGUE ! Avec une postface de Katia Bouchoueva !
Un EXTRAIT ?
Le commander? ICI
Cette notule sera régulièrement mise à jour (je la complèterai notamment avec les critiques que ce recueil glanera).
13:08 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : katia bouchoueva, pierre soletti, valère argué, muséhomme, éditions le pédalo ivre
26/02/2014
Le Pédalo Ivre (collection poésie), bilan (provisoire) & prospectives
Dans la famille "déjà parus (depuis la mi-2012)" :
Dans la famille "à paraître" (en 2014) :
" Le Cow-Boy de Malakoff " de Thierry Roquet (Parution imminente)
" Le citronnier " de Samantha Barendson
" Muséhomme " de Pierre Soletti & Valère Argué (préface de Katia Bouchoueva)
" La vie est trop vraie " de Simon Allonneau.
Et merci à... beaucoup de gens (en commençant par Jean-Marc Luquet).
15:59 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : le pédalo ivre, éditions le pédalo ivre, thomas vinau, jean-mac flahaut, jean-baptiste cabaud, magali mélin, grégoire damon, hélène dassavray, thierry roquet, samantha barendson, pierre soletti, valère argué, simon allonneau
29/01/2014
Rencontres avec des z'hommes remarquables # 1 : JEAN-MARC LUQUET
Lassé de ne pas lire dans la presse le moindre entrefilet sur les éditeurs que j’estime, j’ouvre un nouvel espace sur mon blog pour y questionner quelques « z’hommes remarquables » comme le disait Tonton Gurdjie. Le premier, à tout seigneur tout horreur, n’est autre que Jean-Marc Luquet qui, après s’être occupé pendant des années de la collection « La ligne d’horizon » aux éditions "A plus d’un titre", a créé les éditions Le Pédalo Ivre (et a poussé le vice jusqu’à m’y confier une collection de poésie !).
Jean-Marc Luquet, tu as créé les éditions « Le Pédalo Ivre » il y a deux ans (on se dit « tu », je ne vais pas jouer à Anne Sinclair interviewant DSK à « 7 sur 7 »)… Mais avant cela, avant de commettre cette fatale erreur qui te poussera à hypothéquer ta piscine, quel a été ton parcours professionnel, intellectuel, politique… Oui, cet entretien vise à fournir à la N.S.A. de nouvelles données, mais pas seulement…
Mon parcours professionnel est simple : je suis informaticien depuis une trentaine d'années, et j'ai été libraire pendant deux ans. Quant à mon parcours politique, j'aurais tendance à sortir mon joker, à l'exception de quelques informations. Je suis sensible à l'écologie, je suis bénévole à la revue Silence et antinucléaire de longue date. Je me suis également intéressé à la critique du développement, du reste mes deux expériences d'édition sont consacrées à cela. Enfin, concernant mon parcours intellectuel, je n'aurai que deux choses à déclarer : j'ai attendu d'être quinquagénaire pour lire Albert Camus (c'est en cours), et mon rapport à la poésie contemporaine est, disons, particulier, puisque mon poète de chevet est François Villon.
Informaticien, libraire, militant antinucléaire, ton intérêt pour la critique du développement... De là à devenir éditeur, il y a un pas que tous ne franchissent pas. Tu t'es d'abord occupé de cette fameuse collection "La ligne d'horizon" aux éditions A plus d'un titre. Combien de temps a duré cette expérience ? Qu'est-ce qui l'a caractérisée ? Dans quelle mesure a-t-elle préparé la naissance des éditions Le Pédalo Ivre ? Que te restait-il à apprendre sur le tas, après tout ce que tes précédentes activités t'avaient apporté ?
En fait, tout vient de mon intérêt pour la critique du développement en général, et pour François Partant en particulier. Partant était un économiste précurseur du tiers-mondisme. Après son décès, s'est constitué l'association "La ligne d'horizon" qui tente de poursuivre son oeuvre. Dans cette association, l'une de mes activités était d'éditer des brochures et des actes de colloque, avec les moyens du bord et des résultats pas très pros. Au bout de quelques années, j'ai eu envie de faire de "vrais" livres, diffusés en librairie.
Sur ces entrefaites, j'ai accepté la proposition de gérer une collection aux éditions "A plus d'un titre". Sont parus une demi douzaine de livres, d'abord d'auteurs avec qui j'avais travaillé, comme Ingmar Granstedt, François de Ravignan ou Serge Latouche, puis un auteur plus ancien et redécouvert, Bernard Charbonneau. J'ai d'ailleurs rencontré à cette occasion un autre directeur de collection… nommé Frédérick Houdaer. Et c'est là que j'ai vraiment appris à éditer un livre, à traquer un peu sérieusement les coquilles et à réfléchir à un tirage. Cette expérience à duré de 2007 à 2011, quelque chose comme ça. Et c'est quand elle s'est achevée que j'ai voulu poursuivre en créant "Le pédalo ivre".
Au catalogue du Pédalo Ivre, aujourd’hui, on trouve certes des livres critiques sur le développement mais aussi deux collections, l’une consacrée à la poésie et l’autre –plus récente- aux textes de chansons. Peux-tu nous présenter cette (petite) dernière ?
J'ai eu l'idée de créer cette collection suite à des discussions avec des amis poètes. Je m'étonnais de ne voir paraître que des textes poétiques écris en vers libres (ou en prose), jamais sous forme versifiée et avec un nombre de pieds répétitifs. Réponse : "ça, c'est de la chanson". Bon, j'avais l'air fin avec mon Villon ciseleur de vers à renfort d'acrostiches pour corser un peu la difficulté. Donc, autant j'ai aimé tous les ouvrages parus dans ta collection Poésie, autant j'avais aussi envie de publier des textes versifiés plus classiquement. Alors, allons-y pour une collection Textes de chanson. La formule est simple, proche de la collection Poésie : des textes de chanson, un livre au format de poche, un prix raisonnable (10 euros), diffusion en direct. Si certaines des chansons figurent sur de CD, l'ouvrage y fait référence. Un premier livre est sorti, titré "Chansons poético-tralala", de François Mallet (un lyonnais), du groupe Otchoz. Le suivant, en préparation, s'intitulera "Bons grains, cargo d'ivraie" et est écrit par un auteur de Rive de Gier sous le pseudo de Oak. Et il n'est pas impossible que paraissent un jour des recueils de chanson de certains auteurs de la collection poésie.
Existent-ils, pour toi, des modèles de maisons d’édition ou d’éditeurs (à part Gérard de Villiers) ? Quel avenir pour le Pédalo Ivre espères-tu (dé)raisonnablement ?
Question difficile. La particularité du Pédalo ivre est d'être une "micro" maison d'édition (pas de salaire, peu de livres par an). Mes références, sans parler de modèle, sont plutôt de "petits" éditeurs qui vivent (souvent mal) de leur activité. Il y en a beaucoup en France, c'est d'une richesse et d'une diversité étonnantes. S'il faut citer des nom, et seulement à titre d'exemple, disons Parangon ou Le passager clandestin, les deux faisant un travail qui me plaît bien.
Quant à l'avenir du Pédalo ivre, il est très incertain. Il est déjà lié à l'avenir de l'objet livre papier, lui-même incertain. Ensuite, l'avenir dépend de la vente des livres, qui est modeste voire insuffisante. Mais pour l'instant, il y a encore un petit peu d'argent dans la caisse, donc tous les espoirs sont permis !